Bonjour à tous

C'est dans le chapitre "le Match" que je lis ces lignes : "Un jour le père Tresca - un jésuite remarquable dont je garde un souvenir ému - me convoqua dans son bureau. Nous aimions tous ce prêtre d'origine basque, à peine plus âgé que nous."

Et un chapitre suivant "la guerre fratricide" se termine par ce paragraphe :

"Je gagnais mon bureau et me mis à ranger les dépêches qui s'étaient accumulées sur ma table pendant mon absence. Tout à coup je sursautai. Un télégramme envoyé de Damas par l'agence Reuters en date du 16 juin 1941 faisait état de la destruction de plusieurs chars d'assaut français aux portes de la ville. Je me mordis les lèvres : au nombre des victimes se trouvaient un lieutenant dont le nom ne m'était pas inconnu : "Tresca, Louis"."