L'illusion coloniale / Eric Deroo et Sandrine Lemaire
Un Portrait d'Eric Deroo de René CLAUDE le jeudi 09 novembre 2006 à 20h56
Eric Deroo est devenu à lui seul un gros morceau de la mémoire coloniale, du moins, son vecteur averti. Deroo a banni le mot «réparation» de son vocabulaire. Il abhorre le discours victimisant. Préfère expliquer comment le racisme s'est construit. Il juge pourtant utile de raconter tout cela aux gamins du Val-Fourré.
Il est le sujet d'un Portrait dans Libération :