Les personnes attachées d'une façon ou d'une autre à l'aventure d'Histoire de guerre ne peuvent que prendre acte de vos dénégations. Il y a au moins une différence avec le précédent que j'évoquais hier, c'est qu'alors la prédation était assumée et l'intention de détruire claire, dès le départ. Puisqu'il ne s'agit que d'un soupçon, vos actes permettront de trancher -et assez vite si le soupçon est fondé.

Vous avez le droit pour vous. Reste à tout citoyen celui de vous tenir en piètre estime si vous mettez progressivement le titre en sommeil, "redéployez" sur d'autres revues le salarié conservé qui n'aurait alors été qu'un alibi ou supprimez, sous couvert d'"imprimer votre propre marque", certaines spécificités qui faisaient la valeur du titre en ce créneau, comme un certain contact avec le monde universitaire (matérialisé dernièrement par l'intervention de Kersaudy au sujet de Papen).

Je suis trop loin du dossier pour prédire, en la matière, quoi que ce soit, et je serai un spectateur d'autant plus attentif que vous avez excipé de votre amour d'un livre des éditions du Polygone dont je me trouve être l'auteur.