Lors des combats fratricides au Levant, Henry Seyrig était directeur du "Service des Antiquités en Syrie et au Liban". Au coeur des évènements, il en fut le témoin privilégié. Son témoignage, daté de 1942, fut publié par la revue "Espoir". Seyrig y évoque cette période trouble : la présence des Allemands en Syrie, les compromissions de Dentz, celles de Vichy... l'engrenage de la collaboration souhaitée par Darlan ....
Ah oui! Le motif de mon intervention ? Que dit de Wailly à propos du professeur Seyrig ?
Bien cordialement,
Francis.
*** / ***
|
|
Pour contacter les modérateurs : cliquez !
contribution.php bidouillé par Jacques Ghémard le 8 9 2010 Hébergé par PHP-Net Temps entre début et fin du script : 0.01 s  5 requêtes