Suivons donc le fil, puisque nous divergeons dans l'actualité.
A considérer les précédents historiques, le millésime XVI n'a pas été jusqu'à présent le signe d'une bien grande agressivité politique. Une reculade humiliante est bel et bien à craindre.
Elle sera perçue comme une éclatante victoire de l'islam sur la chrétienté, équivalente à la chute de Constantinople. Et ça va les doper pour les épisodes suivants.
Et puis, dites moi, mes bien chers frères, n'existe-t-il pas un dogme l'infaillibilité du Saint Père?
A force de préférer le déshonneur à la guerre, nous finirons bien par perdre la guerre sans avoir combattu.
Quelqu'un qui se bat court le risque de perdre, mais quelqu'un qui ne se bat pas a déjà perdu. |