Il faut dire... de Thiriel le jeudi 31 août 2006 à 09h19
... qu'il y avait vraiment autre chose à faire que des "images qui bougent" à Fleury, Douaumont ou sur la côte 304... La consultation des archives photos de l'ECPAD sur Verdun présentent d'ailleurs un "trou" significatif entre janvier 1916 et l'été 1917. Il y aurait matière à montrer un édifiant exemple d'"avant-après".
Les carnets de Delvert méritent particulièrement le détour pour qui cherche à s'imprégner de l'atmosphère de Verdun. Les "friendly fires" de nos guerres contemporaines y prennent tout leur sens, lorsque la seule défense du poilu face à un tir de barrage de son propre camp consiste en sa réserve de fusées vertes: "allongez le tir".