Après 100 pages de Leclerc, vie et mort d'un croisé de Jacques Béal, on constate que cet énième récit de la vie et des engagements de Leclerc, contrairement à la remarquable bio de J.-C. Notin, ne fait pas vraiment progresser le lecteur dans la connaissance des ressorts intimes du chef de la 2e DB. Comme la plupart des bios avant celle de Notin, le récit de J.Béal est trop hagiographique. Du moins, c'est ainsi que je le perçois.
Bien cordialement,
RC |