J'ai eu l'honneur et le bonheur de rencontrer plusieurs anciens des FAFL, lors de leur repas annuel. L'un d'eux (que je ne nommerai pas, il est marié, maintenant) m'a raconté que le camp de Camberley était trés prisé des Free French en raison de la présence toute proche d'un camp d'auxiliaires féminines ATS. Les rencontres étaient fréquentes et sans façons, sur la route, aux abords de l'un ou l'autre camp.
C'était "A nous les petites Anglaises", déjà.
Mais il a ajouté, avec un embarras amusé, que la prophyllaxie posait problème, et que certains Free French se sont fait un peu "poivrer" par cette fraternisation. |