Vous avez tout à fait raison, René, il me semble que l'on ne parle pas beaucoup de l'attitude des écrivains allemands et autrichiens envers le nazisme.
Je serais très intéressée si nos modérateurs voulaient bien lancer le débat.
Je ne vais pas ici résumer le livre de Fallada, car Prosper et vous-même nous avez aimablement communiqué des liens Internet, mais, en effet, ce roman, que je qualifierais presque de "naturaliste", est très intéressant. Il est écrit assez froidement, et presque mécaniquement, simplement, je pense, pour mieux retranscrire l'atmosphère dictatoriale et insensée du régime, la froideur des bourreaux, et même celle des victimes.
Cordialement,
Claire. |