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Freefrench / Jacques Ghémard

En réponse à -2
-1Encore des erreurs ! de Jacques Ghémard

Ce spahi est également cité par J.-C. Notin de René CLAUDE le vendredi 27 décembre 2002 à 13h02

Dans son "Histoire des Compagnons de la Libération - 1061 Compagnons" (Perrin), Notin décrit aussi cette dernière charge à cheval de l'armée française :
"Tandis que la brigade d'Orient se rapproche d'eux à petits pas, les spahis effectuent leurs premières opérations de la guerre, des reconnaissances aux alentours de la frontière soudanaise. Ballarin et sept de ses hommes se heurtent pour la première fois aux Italiens, le long du Setit, le 27 décembre. L'escadron mène la chasse jusqu'à Umbrega où, le 2 janvier 1941, une patrouille menée par Morel-Deville débusque, dans les hautes herbes, un bivouac d'Ascaris. Des coups de feu partent, alertant l'ennemi. Morel-Deville et Ballarin sont pris à partie par des fusils-mitrailleurs aux tirs imprécis. Quand le capitaine Jourdier rameute l'esacadron aux abords du campement, les Italiens fuient en ordre dispersé. Le pelonton de Villoutreys se présente à son tour et l'ensemble des spahis peut dorénavant entreprendre la traque qui les conduit jusqu'au plateau. Villoutreys emmène son peloton à pied. Jourdier, lui, contourne tandis qu'Arainty prend position face à l'ennemi. La charge est lancée, sabre au clair, cheval au galop, comme au temps des hussards napoléoniens. L'ennemi, sans doute stupéfait de la nature de l'assaut, se débande et accuse la défaite. Il laisse, sur le plateau, douze tués dont quatre par le sabre du seul Ballarin. Du côté des spahis, le soldat Mohamed Ben Ali est tué par une grenade." (là le texte de Jacques est plus précis sur la nature de la blessure fatale)
p. 270 - 271

Du panache !

Amicalement,

René

*** / ***

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