Bonsoir,

Merci de ces éléments.
Le refus du commandement américain d'adopter-adapter les "funnies" reste tout de même étonnant.
On sait que dans les jours qui précédèrent le D-Day, Eisenhower était de plus en plus angoissé par les projections très pessimistes concernant les pertes prévues au cours des premières heures de l'assaut. Quant à Roosevelt, il ne perdait jamais de vue les élections et les citoyens n'aiment pas les politiciens qui font tuer les boys (déjà !) Il faut - peut-être - y voir cet optimisme inébranlable de l'esprit américain ... un optimisme qui peut sembler paradoxal quand on sait l'inquiétude d'Eisenhower !

Bien cordialement,

RC