D'Alençon à Argentan! (Acte 2) - Combats de la 2e DB en Normandie - forum "Livres de guerre"
Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies



Forum
des livres, revues, sites, DVD, Cd-rom, ... , sur la 2e Guerre Mondiale, de 1870 à 1970
 
 Le débat sur ce livre
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 


La description du livre


Et les autres livres cités


La description de ce livre


La description de ce livre

Combats de la 2e DB en Normandie / Hubert Pittino

En réponse à
-1D'Alençon à Argentan! (Acte 1) de Francis Deleu

D'Alençon à Argentan! (Acte 2) de Francis Deleu le samedi 26 juin 2004 à 21h13

Bonsoir,

Nous avons vu que, contournant la forêt d'Ecouché, la 2e DB s'était mêlée à la 5e DB américaine au grand dam du général Haislip.
L'objectif de Leclerc est de prendre la forêt de revers pour en déloger la 9e Panzer.

Nouvel incident franco-américain!

Le commandant Gribius, chef du 3ème Bureau, accourt, affolé au PC de Leclerc.

- "Mon général, les Américains nous donnent l'ordre d'évacuer la forêt d'Ecouves. Leurs escadres de bombardiers vont prendre l'air d'un instant à l'autre pour déverser leurs bombes sur les restes de la 9e Panzer".

Leclerc n'en fait qu'à sa tête! Il a l'intention d'utiliser les petits itinéraires de cette forêt et surtout de ses abords pour s'infiltrer dans le dispositif ennemi.

- Réplique de Leclerc à Gribius: "Je vous somme d'avertir les Américains de se dispenser de procéder à ce matraquage! La manoeuvre est en cours. Je refuse de faire effectuer demi-tour aux unités engagées".

- Gribius: "Mais... mon général, permettez-moi de vous faire remarquer que les Américains ne reviendront pas sur leur décision. Si vous persistez de votre côté, vous serez responsables du massacre de nos propres troupes".

- Leclerc fulminant: "Mon cher Gribius, c'est vous que je rendrai responsable de ce massacre si vous ne prenez pas immédiatement toutes mesures pour décommander ce bombardement".

De longues années plus tard, Gribius devenu général, se souvient encore de l'angoisse et de la hantise qu'il vécut, craignant que ce contrordre ne fut pas accepté par les Américains. Il le fut mais de justesse.

NB. Branet dans "L'escadron" nous livre un trop court récit de cette folle journée du 12 août. (pages 172 et 173).

Bien cordialement,
Francis.

*** / ***

lue 1383 fois et validée par LDG
 
décrypter

 



Pour contacter les modérateurs : cliquez !

 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.01 s  5 requêtes