C'est le titre d'un article du magazine en ligne
"l'Alsace, le Pays" qui rapporte, entre-autres, quelques traits d'esprit de Monsieur Joseph lors de son procès.
Ainsi, lorsque le président de la Cour de justice lui reproche:
"Vous faisiez circuler vos camions avec des laissez-passer allemands..."
Joanovici:
"M. le Président, s'ils avaient eu des laissez-passer anglais, ils n'auraient pas pu rouler".
Les droits de reproduction de l'article étant réservés, je vous invite à le lire et de jouir d'un bon moment de détente. On y apprendra également que Joanovici aura comme voisin de cellule Gaston Dominici.
Bien cordialement,
Francis.